Vous vous souvenez de cette sensation de se laisser porter par la musique, de se laisser aller aux notes, aux rythmes de celle-ci ? Au plaisir de danser, de pouvoir se déchainer, de gesticuler, de se lâcher et d’échanger quelques regards, quelques pas de danses avec vos potes, vos proches durant un concert ?
Ce samedi 19 février c’était de nouveau possible lors du concert d’HATIK à la Cartonnerie de Reims .
Vedette dans la série de Franck Gastambide et Canal +, « Validé » HATIK s’impose aujourd’hui comme une des nouvelles figures de la scène rap française.
Le rappeur a fait salle comble à Reims pour la deuxième date de sa nouvelle tournée intitulée « Le noyé tour ». Une tournée qui a commencé avec une première date à Witry le François à l’Orange bleu, Hatik enchainait dès le lendemain à Reims. Gros succès pour cette soirée, avec un public relativement jeune. La génération Z était au rendez-vous pour saluer l’arrivée de NERVOZO qui faisait l’ouverture de cette soirée. Dès leur arrivée les trois artistes accompagnés de leur caméraman ont donné dès les premières minutes un avant-gout de cette soirée avec des textes percutants, l’envie de bouger et de danser étaient là, le public emballé. Un set court mais efficace.
Le niveau montait encore d’un cran avec l’arrivée de KOLO, le backeur live d’Hatik. Amis d’enfance, les deux artistes sont animés par l’amour de la musique. Kolo est une étoile montante du rap français. Accompagné de son D.J l’artiste assure le show et reviendra ensuite à plusieurs reprises sur scène aux côté d’HATIK.
Dernière round de la soirée, il était très attendu, la star de la soirée arrive : HATIK monte sur scène. La salle devient noire, le publique se met à hurler et crier réclamant l’artiste. Avec un set composé de quelques titres, le publique est super réactif, connait chacun des textes qui composent ce set. Hatik se montre très proche de son publique est fini par descendre au milieu des fans. Noyé au milieu de flashs il enchaine ses titres puis clôture cette soirée avec l’un de ses gros succès Angela.
Le publique est comblé.
Texte : Mélissa Krantz
Photos : Joel Dera
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